Nobilis Hampden No. 7 HLCF

 Élégant, rond et délicieux. Mais il me manque quelque chose pour que l'impression soit plus durable et que la note soit meilleure. J'ai trouvé le RumClub du même millésime bien meilleur.

 Un grand Hampden. L'alcool est ici intégré à la perfection. Il a un superbe nez d'esturgeon avec une quantité incroyable d'agrumes. C'est génial. En bouche, il est incroyablement doux et étincelant à la fois. Une finale agréablement longue et légèrement lardée.

 Après un nez discret dans le verre, c'est pour moi une grande surprise. Pourtant, pour moi, le millésime 1992 n'est pas épique.

 Comment pouvez-vous être chanceux, trois grands rhums à la suite. J'ai laissé reposer celui-ci pendant 15 minutes avant de lui donner un coup de pouce et quel coup de pouce ! Un beau Hampden fruité avec du bois fumé et des épices. Il y a un léger funkiness sur le nez et le palais et les esters complètent le profil global.Le verre vide est également très agréable après une heure ou deux.

 Le nez est très fruité avec beaucoup d'ananas mûr, d'autres fruits tropicaux, de l'alcool et du bois. Fruits, ester, bois, caramel, dans l'ensemble très accueillant. En bouche, il est très intense avec une bonne dose d'ester, un peu de colle, des fruits tropicaux et des arômes de fût. Pour moi, l'un des meilleurs 92 HD.

 Un Hampden embouteillé par Nobilis, qui a réalisé un beau travail dans la sélection du fût. Ce HLCF vieilli en partie sous climat continental exhibe de beaux arômes fruités au nez, à la fois exotiques et très mûrs (banane, ananas et mangue notamment), quelques agrumes et les fameuses notes phénoliques propres au funk jamaïcain. Après aération, quelques notes pâtissières (massepain) font leur apparition. En bouche, on a un rhum au profil lourd mais aussi très crémeux, huileux, qui se mâche presque et qui englobe le palais de ces saveurs exotiques, funky, épicées, légèrement rôties et florales. L’alcool est à peine perceptible. Ce concentré de saveurs se retrouvent dans une finale longue, légèrement tannique, fumée, pimentée, pâtissière et toujours aussi fruitée et phénolique, dont il sera difficile de se débarrasser au dentifrice. Un rhum évidemment très agréable, très gourmand et aromatique, mais qui va commencer à faire partie des victimes de la spéculation à cause de ses qualités indéniables et de sa rareté hélas.

 Compromis parfait entre une teneur en ester très élevée et un manque de funkyness. Fruité mais pas inutilement sucré. Funky, mais n'assomme pas la langue.

 En soi, un beau vieux Hampden apporte une discrète étincelle d'ester, de beaux fruits. En fin de bouche, il y a un peu d'amertume du fût, ce qui est tout à fait acceptable. L'alcool est super bien intégré, mais malgré tout, il me manque un petit quelque chose pour obtenir une meilleure note. On remarque qu'il a été stocké sur un continent.

 Fruity and most elegant nose out of the 92 trio. Same impression on the palate, too.

 très rond au nez, peu de notes funky d'ester (également 'seulement' HLCF Marque), mais des agrumes et une note de crème aigre ( ?) Au palais, également des agrumes, les 60,2% ne se remarquent pas du tout. L'alcool est parfaitement intégré. En fin de bouche, le bois grillé. Dans l'ensemble, peut-être un peu trop de bois et d'arômes grillés, mais le Nobilis obtient tout de même une note de pointe de ma part.

 Pas aussi bon que le CDI Hampden 92

 Alcool très bien intégré, belles notes de pêche. Voilà ce que doit être un Hampden !

 Very funky nose with loads of fruits and perfectly integrated alcohol. Same profile on the palate but surprisingly sweet and round with an amazing oily texture and perfectly integrated alcohol once again. Very good Hampden overall 👌 🇯🇲

 Le profil classique de Hampden, associé à une amertume boisée et à quelques épices. En bouche, il n'y a malheureusement pas les notes charismatiques et lourdes de douceur qui apportent encore une fois de la complexité supplémentaire, en particulier dans les mises en bouteille High-Ester à conservation tropicale. Mais une mise en bouteille réussie.

 Vraiment très proche du Rum Club 1992. L'alcool est ici légèrement moins bien intégré. Mais c'est une critique de très haut niveau.