Bristol Caroni Haromex

Notes décentes de Caroni mais (parmi les 1998) manque un peu de l'excitation et du punch avec lesquels la distillerie est associée.

11.07.2020 Notes. Nez : bois, torréfaction, baies, goudron, atelier. Bouche : léger, bois, goudron, caoutchouc léger, agrumes. Finale : moyennement longue, légèrement sèche, fumée légère, cerise, goudron.

Un Caroni typique avec des arômes pas très prononcés ! L'alcool est très bien intégré ! Dans l'ensemble, un Caroni d'un genre plus doux, qui permet aussi de grandes gorgées.

Assez sale au début, avec de la fumée et du goudron. Puis il s'ouvre sur de délicieuses notes fruitées et rondes qui tiennent compagnie au profil typique de Caroni en arrière-plan. Très bon Caroni 😋

Le nez et la finale m'ont tous les deux merveilleusement plu. Mais le palais était tellement étrange que je me demande si quelque chose n'a pas été fait avec l'échantillon. Beau nez de Caroni 1998 avec des composants sales, complétés par de la noisette et du fruit. Seulement le palais était extrêmement alcolisé sur la langue et, malgré un ABV relativement bas, a presque ruiné le plus beau moment de la dégustation.

Caroni sale et fruité avec une belle note de caramel. Finale un peu courte. Bonne entrée dans le monde du cari.

Intéressant, mais ce n'est pas un rhum que je boirais tous les jours. J'aurai peut-être l'occasion de goûter au Caroni.

Rhum dégusté une première fois lors de l'ouverture de la bouteille après une longue Line Up. Ici, la note de dégustation se fera à l'aide d'un sample de 3cl, à tête reposée. Nez - À l'ouverture et dans le verre, les notes typiques caroniesques sont bien présentes sur les hydrocarbures et le goudron. De temps en temps, en y revenant, je trouve des notes de suie, de graisse de moteur, ça sent l'établi du grand-père quand j'étais plus jeune. Ces notes se renvoient la balle par la suite pour laisser place à un profil plus fruité. En deuxième nez, de la mangue fait son apparition, de bien mûre à bien pourrie, on l'a retrouvera par la suite par intermittence. Quelques fruits à noyau comme dans certains TDL, sur la griotte et la cerise aigre. Je trouve aussi une agréable senteur de sucre brûlé salé & caramélisé. C'est au tour de la touche médicamenteuse assez caractéristiques de menthol et d'eucalyptus, qui perdura durant toute la dégustation. Un nez somme toute assez évolutif qui réussi à associer le sale typique Caroni, le fruité, une certaine douceur caramélisé et la fraîcheur mentholée. 91/100 Bouche - Première gorgée sur un bois bien sale, assez astrigente. L'alcool englobe bien le palais, sur une attaque vive et épicée, style bonbon piment réunionnais (sans l'appareil, juste le piment adouci, hein). En rétro-olfaction, les mêmes fruits du nez reviennent sur un aspect pâte de fruits, puis un léger caramel et enfin une pointe mentholée très fraîche (Hollywood chewing-gum !) Accompagné de chocolat noir (glace mint chocolate 😋). Si vous aimez les After Eight vous serez servis. D'ailleurs, l'alcool qui semblait très bien intégré au nez l'est légèrement moins bien intégré en bouche. 87/100 Finale - Moyenne à courte (pour un Caroni). Je perçois quelques notes fruitées, le fût laisse apercevoir un mélange de pâte à bois gorgée de rhum. Toujours cette note mentholée mais beaucoup moins vivace qu'au nez et qu'en bouche. En fait ces marqueurs ne restent pas accrochés au palais suffisamment longtemps et sans réelle intensité. Petite déception. 82/100