Last Ward

Výjimečný Mount Gay

J'ai beaucoup de rhums de cet embouteilleur parce que leur rhum moyen est toujours bon.Le nez de ce rhum est très fruité avec de la vanille. La bouche est complexe et également très fruitée avec des épices et un peu de baril grillé sur le dessus. La finale est longue avec du bois grillé, des fruits et une touche de tabac.

Pour une maturation pas si longue, le bois/fût est assez présent dans le bon sens du terme, auquel s'ajoutent des notes de caramel et des fruits plutôt doux comme la mangue et la banane. Très doux et léger.

Excellente soirée dégustation au bar 1802 à Paris, très bons conseils et super discussions ! Gros gros kiff ici j’avoue que j’ai craqué. Un rhum ultra efficace, complet, pas de fausse note, on a du caramel du massepain, des épices un peu de piquant, un bel âge qui garde du punch mais n’agresse pas. Bref, j’ai adoré ! Je cherche désormais une bouteille pour la maison !

Un Mount Gay étonnamment bon, très rond, avec de belles notes tropicales et légèrement mentholées.

Un rhum exceptionnel. Superbe nez, pour moi composé de chocolat, ici chocolat noir et sucre brûlé. En bouche, il y a aussi du chocolat et du bois.

En comparaison avec le 2007 et le 2009, j'aime les notes nettement plus fruitées et surtout l'intégration optimale de l'alcool. Agréablement doux, avec des notes de noix et de caramel. Une barbade très savoureuse.

Joliment fruité et épicé au nez. Doux et amer avec de la prune et de la cerise et ces abricots secs sulfurés. Il y a aussi un soupçon de vanille, de sucre brûlé et de bourbon. En bouche, il y a de nouveau un fruité amer et doux, provenant de nouveau de l'abricot sec. Mais aussi quelque chose d'épicé, de boisé et de parfumé vers la violette. En fin de bouche, j'ai de nouveau cette amertume et cette douceur de la violette et du thé vert.

Selon le Dr Frank Ward, les embouteillages Velier de Mount Gay ont été trop vieillis et ont donc perdu une partie de leurs arômes classiques. Comme le MG pur pot still est censé être meilleur à 4 ou 5 ans d'âge, voyons ce qu'il en est. Au nez, il est plus robuste que son homologue de 2007. Il est camphré, cuiré et saupoudré d'épices d'hiver, mais la douceur est beaucoup plus concentrée sur les fruits secs, le sucre brûlé et le vieux vin. Il y a aussi du vinaigre balsamique, des champignons séchés, de la boîte à cigares en cèdre et un soupçon d'isobutanol. Un corps robuste accompagné d'herbes de cuisine et de rhubarbe rouge. La bouche est dominée par des notes camphrées et phénolées, ce qui en fait un vin "vieux", moisi et tannique. La bouche commence par des fruits secs et des zestes d'orange, puis le vinaigre balsamique et les épices de la barrique se font plus présents. Enfin, il y a du tabac et des notes de cendres. Le goût est plein et rond, très typé vin rouge. Les fruits secs et le vinaigre balsamique se poursuivent en fin de bouche. Toujours terreux et moisi, l'idée de vieux vin s'imprègne encore plus dans mon esprit. Il est peut-être un peu trop présent. Dr Ward, vous avez peut-être raison.

C'est une véritable bombe. Il sent le bois moisi, mais dans le bon sens du terme. Des bananes grillées caramélisées dans du beurre avec du sucre de canne. Au goût, on retrouve le bois, la vanille, le caramel légèrement brûlé et des touches de cuir ! Super bouteille !

Un bon rhum solide ! Au nez le mont gay classique sent le boisé, la noix et les épices. En bouche vous goûterez plus de fruits (mangue, abricot...), du tabac et du moka avec un peu de cuir. A la fin il y a une intéressante finale douce amère avec du thé noir, des fruits, du chocolat au lait et beaucoup de bois.

Surprenant fruité (agrumes et plus tard cerise) au début du nez, plus tard un soupçon de vanille et de noix de cocoEn bouche, c'est le boisé et l'épicé qui prévalent avec une touche de moka... très savoureux. La finale est également très douce ! L'alcool est parfaitement intégré ! Un Mount Gay de première classe. D'une certaine manière, il a perdu pour moi, peut-être aussi la forme du jour. Le caramel brûlé prédomine et la profondeur me manque.

Un profil gustatif très particulier, composé de cerises acides, d'abricots pas encore mûrs, de colle, de lychee, de thé noir, de bois brûlé, d'encens, d'un espresso noir puissant et de chocolat au lait avec de la noix de muscade. Cette acidité m'irrite et me fascine à la fois, comment elle arrive là. Beau produit, extrêmement complexe car beaucoup de bois, beaucoup de notes florales, épicées et fruitées se rencontrent et se battent... Finale incroyablement longue, même pour un Mount gay ! mais il faut vraiment en avoir envie ! L'alcool pourrait être un peu mieux intégré, définitivement pas un sipper facile...😅

Le plus faible des Velier Mount Gay que j'ai essayés jusqu'à présent. Peut-être que le faible taux d'alcool affaiblit le profil, mais il est presque décevant comparé à d'autres sélections provenant du même stock de fûts. Le nez est typique de la dernière salle, juste un peu mou, avec de la pâte d'amande et du solvant. Les problèmes commencent à la dégustation... La bouche est faible et principalement tirée par le bois. Il n'est pas mauvais dans l'ensemble, mais il n'est pas à la hauteur des autres Mount Gay sélectionnés par velier.