Diamond El Dorado The Last Casks 1998

Lovechild de Moneymusk MBS 2010 & Foursquare 2006 ! Super doux & détendu. Beaucoup de miel, de légères herbes fraîches comme la verveine citronnée et un peu de chocolat au lait, ainsi que de la confiture de kumquat et des chips de noix de coco grillées. Pourrait être un peu plus massif, mais est dans l'ensemble très savoureux et élégant !

Troisième place au sein du nouveau trio. Les trois rhums se distinguent bien les uns des autres, chacun a sa particularité. Celui-ci, je l'ai trouvé un peu "bizarre", comme si quelque chose n'allait pas ou qu'on lui avait fait subir quelque chose. Mais on pourrait aussi dire qu'il a un caractère fort et unique. Je ne peux malheureusement pas dire ce qui m'a irrité à ce point. Il faudra que je le goûte à nouveau.

Le nez est très agréable avec beaucoup de noix de coco (un peu comme dans Foursquare) et d'ananas. Il est accompagné de légères notes de zestes d'agrumes. Malgré son long vieillissement, ce vin est très vif et vibrant. La bouche est beaucoup plus boisée et sèche. Quelques notes de fruits secs et d'herbes persistent en arrière-plan. La finale est très sèche et astringente, mais pas trop amère.

#4265 16.09.2023 Whisky N Rum Show 2023. Je n'ai pas essayé beaucoup de rhums sur place, mais j'ai réussi à goûter les deux derniers Last Casks. Je continue à penser qu'ils sont trop chers par rapport à ce que l'on obtient. Celui-ci est un peu plus fruité, mais il a ensuite des notes plus médicinales et de colle. La bouche est légère et fruitée avec quelques notes d'herbes ajoutées. La finale est de longueur moyenne avec des notes de bois torréfié, d'agrumes et de café léger. J'ai remarqué que le verre vide avait de belles notes de caramel.

Peut-on imaginer mieux que de sentir à la fois l'eucalyptus et la colle ? Non !

Le nez est encore le meilleur de cette mise en bouteille... Caramel, fruité minimal, boisé et légèrement épicé par l'alcool. En bouche, il est très fin et léger, puis le bois, l'amertume, les épices et les herbes s'étendent, tout comme la finale. Très tard, un peu de pruneau apparaît en fin de bouche !

Un rhum dégusté chez Rum Depot à Berlin. Comme un faux nez un peu savonneux, mais tout de suite tout revient en place. Fruits tropicaux et fruits à pépins, encaustique et vieux bois. En bouche on ressent un léger manque d’équilibre et là aussi tout revient en place avec du vieux bois vernis et encaustiqué. La finale est belle, légère amertume et fruits. Le verre vide est tout à fait équilibré, la meilleure partie de ce rhum qui me déçoit un peu à cause de ses déséquilibres.

Light and delicate, floral. You don't feel the proof. It's very smooth

Gluey-fruity with some bitterness

Profil intéressant, l'ADN de Demerara est bien reconnaissable. Mais l'ensemble n'est pas vraiment rond, d'une part à cause de la dilution et d'autre part parce qu'une note un peu astringente et amère apparaît au palais, qui n'est certes pas extrêmement prononcée, mais qui est tout de même frappante et ne s'intègre pas vraiment dans l'image globale. C'est pourquoi il n'y a pas de comparaison avec les véritables grands de la Guyane.

Le premier des trois derniers casks. Un beau vieux Diamond entièrement vieilli sous les tropiques pendant 24 ans. Remarquable. Nez : malgré les 49% seulement, intense, complexe et très aromatique. Fruité-sucré-boisé-épicé. Il y a un peu de tout. On remarque d'abord une belle note de colle, sucrée, dans le genre Pattex. Avec de l'encaustique pour meubles. Il y a déjà une pointe légèrement acidulée, comme l'acide de bois ou la mélasse, qui s'impose complètement. Agréable douceur également vers le sirop d'érable et le miel. Maintenant, les composants de fruits tropicaux et sombres se font sentir : Papaye avec orange, cerise noire avec prune, un soupçon de noix de coco et de maracuja légèrement acidulé. Derrière, des notes chocolatées et boisées, beaucoup de chêne avec de la vanille et du cuir. Superbe nez, à part la piqûre : 8,8 Palais : plus âpre que le nez ne le laisse supposer. Très sec, boisé et au début amer et acidulé. Acide boisé et un peu de menthol. Cela donne aussi un goût métallique. Le bois brûlé est déjà dominant. Ensuite, le fruité de l'orange amère avec la griotte et la noix âpre, la noisette grillée. En fin de bouche, le fruit se transforme en abricot sec. Un peu trop boisé dans l'ensemble, mais prévisible vu son âge. L'alcool convient bien dans l'ensemble. 8,2 Pas de légèreté, ce à quoi on pouvait s'attendre. Mais c'est super qu'El Dorado, après les Rare, propose maintenant des particularités de très grande qualité. Celles-ci sont certes chères, mais elles en valent le prix.

Le nez et la finale sont agréables, mais en bouche, il y a d'abord un piquant très étrange, comme les solvants dans la colle forte. Ça a l'air génial, mais c'est bizarrement désagréable pour moi. C'est d'ailleurs le cas pour les trois de la série. Pour moi, ce n'est pas très réussi. Après quelques secondes, ça redevient délicieux.

Superbe nez fruité et collant ! En bouche, la première bonne impression ne se confirme malheureusement pas complètement. Un peu rond, mais pas inintéressant, légère fausse note savonneuse, dans l'ensemble malheureusement trop dilué.

Nez encore OK, mais en bouche et en finale pas du tout harmonieux. Beaucoup trop boisé et amer, avec en plus un étrange arrière-goût de savon que je n'arrive pas à saisir.

Le nez est assez fruité pour un rhum de cet âge. Malheureusement il n'est pas tout a fait à mon goût. La bouche est elle aussi assez fruitée. La réduction n'est pas parfaite selon moi (du moins il laisse une légère sensation acqueuse).